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Profitez de la vie ! (conseils d'un homme en fin de vie)



Un homme de 85 ans mourant du cancer, nous donne une belle leçon de vie.

"Si je pouvais refaire ma vie, j'essaierais de faire davantage d'erreurs.

Je n'essaierais pas d'être aussi parfait, je serais moins sage et je prendrais bien moins de choses au sérieux.

Je serais plus fou, je prendrais davantage de risques, ferais des voyages, mangerais plus de bonnes choses et moins de haricots.

J'enfourcherais des manèges, je nagerais dans les rivières, je regarderais des levers de soleil et m'amuserais plus avec mes enfants au lieu de trop travailler.

Je saisirais toutes les chances qui passeront à ma portée.

J'irais à des endroits où je ne suis jamais allé, j'aurais plus de problèmes réels, et moins d'imaginaires.

J'ai été un de ceux qui vivent avec retenue, et sainement, remettant tout au lendemain, à plus tard.

Oh j'ai eu aussi de beaux moments, bien sûr, mais si je devais recommencer, j'en aurais plus encore, je vivrais davantage le moment présent, j'essaierais de n'avoir que du bon temps !

Je me mettrais nu-pieds plus tôt au printemps et plus tard en automne, voyagerais avec moins de bagages et surtout, avec moins de produits pharmaceutiques au cas où..

Mais voyez-vous, tout est fini pour moi, mais vous, ne faites pas les mêmes erreurs que moi."

Pour guérir le deuil, il faut pleurer.



Dans les tribus indiennes, on dit qu'il ne faut pas laisser le mal se blottir.

Il faut le faire jaillir du corps, gicler hors de la peau comme les pépins de baies sauvages.

Il ne faut pas lui donner de prise. Car le malheur est habile.

Il plonge dans les parties vitales de l'organisme,

S'insinue dans les recoins les plus inaccessibles,

Se love dans les viscères et jusque dans la bile.

Et il les anémie.


Ensuite, il leur ôte le goût de vivre.

Alors le cœur se ternit, les yeux s'engorgent.

Et comme le dos se courbe, le teint se flétrit.

Non, le chagrin, cela se chasse, comme les pépins de raisin.

Pour l'extirper, il ne sert à rien de se gratter la chair et le sang.


Il lui a dit - et elle le croit, car c'est un grand sorcier -, il lui a dit que l'eau salée est le meilleur des remèdes.

Les Indiens enduisaient leurs malheureux de cataplasmes marins.

C'est parce que, le mal, il fond dans l'eau salée.

C'est parce que l'eau de mer agit sur la peau comme par osmose.

Elle aspire les larmes à la surface.

Pendant des jours et des jours, il faut s'humecter sans cesse.

Alors le malheur se dissout dans les larmes, se délite à petites gouttes pour sourdre hors du corps par les yeux.


Pour guérir de la mort, il faut pleurer.


(Myriam Cohen-Welgryn)

Votre amour ne meurt pas !


L'amour authentique pour une personne chère ne meurt jamais. 

Que ce soit un conjoint, un enfant, un parent, un ami, quelqu'un à qui on tenait beaucoup.
Lorsqu'une personne chère meurt, bien sûr, son corps physique disparaît. 

Mais un amour véritable est un amour qui n'attend rien, 
qui n'exige rien et qui n'a même pas besoin de la présence physique de la personne 
pour être ressenti et pour faire vivre le coeur.

Même lorsque votre être cher est décédé et enterré, 
votre amour pour lui reste vivant au-delà de la mort.

Vous continuez à le faire vivre dans votre coeur et dans votre mémoire, 
tout le restant de votre vie.
Josette Sauthier

L'enfer et le purgatoire selon Aïvanhov



Est-ce que les "méchants" sont punis après leur mort ?

Ce que les religions appellent "le purgatoire" ou "l'enfer" n’est rien d’autre que des états de conscience et des souffrances morales qui seront pleinement vécus dans le plan astral.

L’homme vit dans son corps physique comme dans une carapace et c’est cette carapace qui l’empêche de sentir la réalité du monde psychique.

Mais quand, au moment de la mort, il quitte son corps, il se retrouve sans défense dans le plan astral.

Ceux qui se sont complètement abîmés dans une vie de débauche, d’injustice, de méchanceté, de cruauté, et qui ont réussi à échapper à la justice humaine, se trouvent, quand ils meurent, confrontés dans le plan astral à tout le mal qu’ils ont fait.

Pendant leur vie ils étaient arrivés à chloroformer leur conscience.

Mais après leur mort ils ne peuvent plus trouver refuge nulle part : ils n’ont plus de corps physique qui les protège et les insensibilise, et ils éprouvent exactement les souffrances qu’ils ont fait subir aux autres tout au long de leur vie."

Omraam Mikhaël Aïvanhov