Quand seront recouvertes de mousse les ardoises du toit
qu'ensemble nous avons construit,
Je ne t'aurai pas oublié.
Quand aura vieilli le rosier qu'ensemble nous avons planté,
les roses pâliront,
mais je ne t'aurai pas oublié.
Quand j'arriverai un jour à ne plus montrer mes yeux
couleur de larmes,
je ne t'aurai pas oublié.
Quand la vie reprendra, que je re-sourirai
ou en ferai semblant,
je ne t'aurai pas oublié.
Quand je te reverrai enfin,
au-delà du mystère,
tu ne m'auras pas oublié.
Père André Marie.
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